Que reste-t-il de l’ancienne cité ouvrière ? Des « corons », les vestiges du paternalisme. L’usine a été démontée, le site est devenu un campus technologique, le stade pourrait disparaitre… Il reste la mémoire, celle des hommes et des femmes du Plateau. Une mémoire qui se transmet, s’écrit, s’enregistreetse réinvente pour renaitre.